Les affres et les souffrances reçues dans le cabinet d’un généraliste rural, Bruno Sachs, au travers des récits fictifs de ses patients, de ses collègues… Ou comment (ne pas) résister au surmenage empathique. Un très chouette roman, instructif, déprimé mais pas déprimant.
J’ai Lu, 1998, 632 pages
Honnêtement, je n’en suis pas venue à bout. Au début j’ai apprécié, le ton qui change pour chaque personnage, les différents points de vue, jamais celui du principal intérressé. Mais je me suis lassée à mi-parcours. Il y a un fil conducteur mais pas vraiment d’histoire, et mon ennui a pris le pas sur mon envie de savoir ce qu’il adviendrait du Dr Sachs.
La maladie de sachs est un roman magnifique que j’ai dévoré d’un bout à l’autre. Les personnages ont la parole et se livrent, se dévoilent les uns après les autres. C’est une histoire simple un médecin exerce son métier autrement,il est à l’écoute de ses patients et les prend comme ils sont. Il leur tend la main c’est un grand moment de bonheur. L’écriture est belle, les mots sont là pour nous indiquer le chemin, un chemin possible.