Nous nous engageons sur une conversation comme sur un chemin, trottinant et babillant, parfois très graves, parfois légers vers le terminus de cette histoire, un tant soit peu abracadabrantesque.
Nos regards se noient dans la végétation du quotidien, et ses mystères, et ses misères : bateaux, peaux, bas, mains, poison, sourire, flèches, soies, pièges à rats et, comme de bien entendu, l’estomac des poulpes qui est étonnant.
Mots d’ordre: petite épopée quotidienne, bêtes extraordinaires, miroirs dans un champs de foire poétique.
Pierre Alferi, L’estomac des poulpes est étonnant, Editions de l’attente, 1994, 15 pages.